French presidency competition 2007
category: residue [glöplog]
Ben non, hacker c'est aussi ouvrir les canettes de bières avec une portière de bagnole ou avec un briquet, par exemple.
Je comprends mieux pourquoi le FBI est sur les dents !
oui on peut dire que la démo est une branche du hacking. (au sens du dictionaire du hacker...
http://www.catb.org/jargon/html/index.html
http://www.catb.org/jargon/html/D/demoscene.html
http://www.catb.org/jargon/html/D/display-hack.html
Par contre effectivement je suis assez de l'avis de OXB, le lien entre cracking/warez et la demoscene est bien trop souvent souligné. Il s'agit plus d'un accident et que tout simplement les deux concernaient une population très forte, mais l'un n'a pas engendré l'autre, j'en suis persuadé.
http://www.catb.org/jargon/html/index.html
http://www.catb.org/jargon/html/D/demoscene.html
http://www.catb.org/jargon/html/D/display-hack.html
Par contre effectivement je suis assez de l'avis de OXB, le lien entre cracking/warez et la demoscene est bien trop souvent souligné. Il s'agit plus d'un accident et que tout simplement les deux concernaient une population très forte, mais l'un n'a pas engendré l'autre, j'en suis persuadé.
ENFIN une vision historique globale, merci hitchhikr :)
irokos: ton post fait sens et recadre bien la dérive sensationnaliste suivie par le reportage de Tracks.
leur confusion vient probablement des 'busts' retentissants opérés en 2001 et 2004 contre les groupes pirates Razor 1911 et Fairlight, qui n'ont officiellement pas de lien direct avec les divisions démo portant les mêmes noms.
willbe: mélanger les démomakers et les hackers (ceux qui infiltrent les réseaux) n'a en effet que peu de sens, sauf si on prend la définition première de hacker au sens unixien de codeur/bidouilleur hors-pair, mais bon, la démoscène et linux ça a quasiment toujours fait 2, vu que les démomakers s'emparent des plateformes dévolues aux jeux vidéo :>
un petit point historique cependant : à la fin du siècle dernier, vers 1998-99, des newbies arrivaient en masse sur le net, souvent des lycéens et étudiants qui venaient chercher leurs jeux et logiciels qu'ils ne voulaient ou pouvaient payer. La scène distro étant élitiste et fermée, est apparu dès lors un mouvement parallèle contestaire qui voulait 'libérer' le warez, en le mettant à disposition publiquement sur le web, souvent avec de la pub... de nombreuses communautés se sont alors formées, les fameux 'boards FXP', pour mettre le warez sur des ftp public puis 'se professionnalisant' elles ont utilisé des hackers (de niveau très moyen...) pour squatter des serveurs et l'espace disque d'entreprises, c'était l'époque des premiers IIS de Microsoft complétement insécures, merci MS ^^;... la scène ne les a bien sûr jamais reconnues, mais une partie des équipes actives de ces boards l'ont noyautée, car elles représentaient du sang neuf, et elles se sont mis à releaser elles aussi, et désormais nombre de membres actifs de la scène proviennent de ce background-là, même s'ils le cachent honteusement :D
Tout ça pour dire que même si on exclue la scène du hacking (dont la compétition ouverte consistait à comptabiliser le nombre de sites web défacés), la scène a entretenu quelques liens déniés avec le hacking réseau.
c'est bien sous-estimer les crackers et leurs exploits, à partir d'un certain niveau il faut maitriser l'assembleur pour réécrire des lignes de code entières, ou encore l'assembleur de machine virtuelle comme le MSIL si on s'attaque à .Net. Pareil pour les trainermakers, certains injectent des fonctions totalement nouvelles aux jeux, hallucinant!
je dirais même que les démomakers actuels ne s'embêtent plus avec cette programmation bas niveau, ils excellent plutôt dans l'optimisation du code à destination des cartes accélératrices 3D.
en ce qui concerne la 'demoscene is dead', c'est bien évidemment faux vu le nombre faramineux de joyaux sortis ces dernières années, mais je constate que c'est plutôt le parachèvement d'une génération au sommet de son art, et que la jeune relève ne se bouscule pas au portillon... Beaucoup de démoparties ne sont plus que des rassemblements de vieux combattants ou ont disparu avec leurs organisateurs, mis à part les démoparties centralisatrices soudées autour de gros groupes, et c'est pour cela que je pense que mélanger une démoparty avec d'autres parties comme un festival de micromusic, une exhibition d'arts numériques venant des beaux-arts ou du webdesign, ou encore une lanparty est bénéfique.
je pense, mais c'est discutable, que la démoscène devrait s'ouvrir et s'affranchir de son cadre historique, par exemple en innovant avec des compos plus live, plus interactives, genre une compo VJ (beaucoup de groupes démo ont des liens forts avec le VJ, des shows VJ ont régulièrement lieu dans les parties mais pas de compo VJ ?), ou des démos imaginatives qui exploitent des entrées exotiques comme le son de la salle, les silhouettes de danseuses sur la scène, une salle armée de wiimotes, des mains pianotant sur une suface multitouch, etc, etc, etc... tout est imaginable, le hardware redevient imaginatif à nouveau à des prix raisonnables, que la démoscène s'en empare! J'adore the Evolution of Vision d'ASD pour son côté traitement d'image/video. Plus de démos à base de simulation, intelligence artificielle, pourraient roxer le big screen, vu que la recherche scientifique, les logiciels industriels et ludiques y font de plus en plus appel.
sinon, je constate tristement que les vieux de la vieille ont tendance à cracher sur la scène underground, même s'ils y ont fait leurs armes... c'est normal, ils ont grandi puis vieilli, ils ont désormais des responsabilités familiales et économiques, mais je leur demande juste d'être honnêtes avec leurs origines et de ne pas oublier ou renier cette scène-là, mais si beaucoup de ses aspects sont constestables, je suis tout à fait d'accord. Reste qu'une cracktro avec une tune sympathoche me fait par exemple toujours autant plaisir, les premiers amours sont éternels :)
un point aussi que je regrette notamment dans le reportage, c'est qu'affirmer que la démoscène a ses origines dans la scène cracking, c'est historiquement vraie, mais il faudrait toujours balancer le propos en disant que la démoscène a évolué distinctement en se séparant de la scène originelle, qu'elle est totalement légale et qu'elle a donné naissance à une génération de créateurs professionnels reconnus, que ce soit dans la musique, l'audio, le jeu vidéo, le VJ, etc... C'est comme cela qu'il faut promouvoir la démoscène à mon avis.
irokos: ton post fait sens et recadre bien la dérive sensationnaliste suivie par le reportage de Tracks.
leur confusion vient probablement des 'busts' retentissants opérés en 2001 et 2004 contre les groupes pirates Razor 1911 et Fairlight, qui n'ont officiellement pas de lien direct avec les divisions démo portant les mêmes noms.
willbe: mélanger les démomakers et les hackers (ceux qui infiltrent les réseaux) n'a en effet que peu de sens, sauf si on prend la définition première de hacker au sens unixien de codeur/bidouilleur hors-pair, mais bon, la démoscène et linux ça a quasiment toujours fait 2, vu que les démomakers s'emparent des plateformes dévolues aux jeux vidéo :>
un petit point historique cependant : à la fin du siècle dernier, vers 1998-99, des newbies arrivaient en masse sur le net, souvent des lycéens et étudiants qui venaient chercher leurs jeux et logiciels qu'ils ne voulaient ou pouvaient payer. La scène distro étant élitiste et fermée, est apparu dès lors un mouvement parallèle contestaire qui voulait 'libérer' le warez, en le mettant à disposition publiquement sur le web, souvent avec de la pub... de nombreuses communautés se sont alors formées, les fameux 'boards FXP', pour mettre le warez sur des ftp public puis 'se professionnalisant' elles ont utilisé des hackers (de niveau très moyen...) pour squatter des serveurs et l'espace disque d'entreprises, c'était l'époque des premiers IIS de Microsoft complétement insécures, merci MS ^^;... la scène ne les a bien sûr jamais reconnues, mais une partie des équipes actives de ces boards l'ont noyautée, car elles représentaient du sang neuf, et elles se sont mis à releaser elles aussi, et désormais nombre de membres actifs de la scène proviennent de ce background-là, même s'ils le cachent honteusement :D
Tout ça pour dire que même si on exclue la scène du hacking (dont la compétition ouverte consistait à comptabiliser le nombre de sites web défacés), la scène a entretenu quelques liens déniés avec le hacking réseau.
Code:
Le cracking, c'était une activité bien spécifique qui, dans le fond, ne nécessitait pas des compétences hallucinantes en programmation, mais plutôt une bonne connaissance des mécanismes de protection, et de la façon de les éradiquer.
c'est bien sous-estimer les crackers et leurs exploits, à partir d'un certain niveau il faut maitriser l'assembleur pour réécrire des lignes de code entières, ou encore l'assembleur de machine virtuelle comme le MSIL si on s'attaque à .Net. Pareil pour les trainermakers, certains injectent des fonctions totalement nouvelles aux jeux, hallucinant!
je dirais même que les démomakers actuels ne s'embêtent plus avec cette programmation bas niveau, ils excellent plutôt dans l'optimisation du code à destination des cartes accélératrices 3D.
en ce qui concerne la 'demoscene is dead', c'est bien évidemment faux vu le nombre faramineux de joyaux sortis ces dernières années, mais je constate que c'est plutôt le parachèvement d'une génération au sommet de son art, et que la jeune relève ne se bouscule pas au portillon... Beaucoup de démoparties ne sont plus que des rassemblements de vieux combattants ou ont disparu avec leurs organisateurs, mis à part les démoparties centralisatrices soudées autour de gros groupes, et c'est pour cela que je pense que mélanger une démoparty avec d'autres parties comme un festival de micromusic, une exhibition d'arts numériques venant des beaux-arts ou du webdesign, ou encore une lanparty est bénéfique.
je pense, mais c'est discutable, que la démoscène devrait s'ouvrir et s'affranchir de son cadre historique, par exemple en innovant avec des compos plus live, plus interactives, genre une compo VJ (beaucoup de groupes démo ont des liens forts avec le VJ, des shows VJ ont régulièrement lieu dans les parties mais pas de compo VJ ?), ou des démos imaginatives qui exploitent des entrées exotiques comme le son de la salle, les silhouettes de danseuses sur la scène, une salle armée de wiimotes, des mains pianotant sur une suface multitouch, etc, etc, etc... tout est imaginable, le hardware redevient imaginatif à nouveau à des prix raisonnables, que la démoscène s'en empare! J'adore the Evolution of Vision d'ASD pour son côté traitement d'image/video. Plus de démos à base de simulation, intelligence artificielle, pourraient roxer le big screen, vu que la recherche scientifique, les logiciels industriels et ludiques y font de plus en plus appel.
sinon, je constate tristement que les vieux de la vieille ont tendance à cracher sur la scène underground, même s'ils y ont fait leurs armes... c'est normal, ils ont grandi puis vieilli, ils ont désormais des responsabilités familiales et économiques, mais je leur demande juste d'être honnêtes avec leurs origines et de ne pas oublier ou renier cette scène-là, mais si beaucoup de ses aspects sont constestables, je suis tout à fait d'accord. Reste qu'une cracktro avec une tune sympathoche me fait par exemple toujours autant plaisir, les premiers amours sont éternels :)
un point aussi que je regrette notamment dans le reportage, c'est qu'affirmer que la démoscène a ses origines dans la scène cracking, c'est historiquement vraie, mais il faudrait toujours balancer le propos en disant que la démoscène a évolué distinctement en se séparant de la scène originelle, qu'elle est totalement légale et qu'elle a donné naissance à une génération de créateurs professionnels reconnus, que ce soit dans la musique, l'audio, le jeu vidéo, le VJ, etc... C'est comme cela qu'il faut promouvoir la démoscène à mon avis.
knos: this demoscene entry in the jargon file is the best desmoscene definition ever :)
knos: ce que tu dis c'est réécrire l'histoire, il ne faut pas oublier que la demoscene fut bien contente d'utiliser le système de distribution efficace de la scène traditionnelle pour se faire connaitre, avant que le web et de vraies demoparties ne changent la donne. Sans parler des moeurs et du folklore commun.
que la demoscene ait rompu les liens, qu'elle veuille se professionnaliser, c'est légitime (quoique certains voient ça d'un mauvais oeil, la demoscene est née pour rester libre et underground comme la scene), mais de grâce pas de révisionnisme mémoriel :p
que la demoscene ait rompu les liens, qu'elle veuille se professionnaliser, c'est légitime (quoique certains voient ça d'un mauvais oeil, la demoscene est née pour rester libre et underground comme la scene), mais de grâce pas de révisionnisme mémoriel :p
Si c'est pas déjà fait , tu devrais te créer un blog
Non rien :)
Non rien :)
non parce que même si je suis bavard, ce que j'aime c'est le débat et l'échange, j'ai passé des temps heureux sur usenet et les newsgroups :p
Ce qui est important à mes yeux c'est la transmission des connaissances vers des personnes externes à la so called scene, les jeuns en particulier car je suis sur et certain qu'il y a des droles qui ont des capacités naturelles et même surnaturelle pour coder et créer pour peu que l'on fasse voir et que l'on démontre la chose. Vu l'usage intensif des medias numériques depuis 10 ans, tout le monde est geek, du bas au haut de l'échelle sociale, de gauche ou de droite et même du centre Zest :)
Riche ou pauvre, tout le monde hacke un tant soit peu son Iphone tombé du camion ou son Nokia, idem pour les objets culturels, la dématérialisation étant le fait d'une majorité de donzes et de gaziers qui eux aussi hackent, optimisent et partagent... Ils savent même déplomber des softs, en tous les cas dans mon quartier, je vois avec bonheur des gosses de 16 ans qui font péter les barrières de leur micro portable offert par le Conseil Général 13. Tout ça pour poser un jeu, surfer sans controles, bref la ritournelle...
Alors dans ce fratras digital, la demoscene reste la galaxie impériale pour dépasser cet état de cumul numérique et mimétique et devenir indépendant quand à ses usages et choix de technologie.
Une demoparty, je crois que c'est à l'origine fait pour cela, pour commencer à transmettre festivement dans le réel cette indépendance et poursuivre la transmission dans le virtuel.
Riche ou pauvre, tout le monde hacke un tant soit peu son Iphone tombé du camion ou son Nokia, idem pour les objets culturels, la dématérialisation étant le fait d'une majorité de donzes et de gaziers qui eux aussi hackent, optimisent et partagent... Ils savent même déplomber des softs, en tous les cas dans mon quartier, je vois avec bonheur des gosses de 16 ans qui font péter les barrières de leur micro portable offert par le Conseil Général 13. Tout ça pour poser un jeu, surfer sans controles, bref la ritournelle...
Alors dans ce fratras digital, la demoscene reste la galaxie impériale pour dépasser cet état de cumul numérique et mimétique et devenir indépendant quand à ses usages et choix de technologie.
Une demoparty, je crois que c'est à l'origine fait pour cela, pour commencer à transmettre festivement dans le réel cette indépendance et poursuivre la transmission dans le virtuel.
Les définitions du jargon sont bonnes. Peut être faudrait il faire ressortir le rôle des constructeur et éditeurs des années 1980_90 qui ont volontairement laissé des softs se faire copier soit par abandon de technologie soit par esprit de marketing viral.
mea culpa : oxb parlait du cracking des années 80-90, que je n'ai pas connu, les protections de l'époque étaient certainement et globalement moins complexes que celles d'aujourd'hui qui pour les plus dures font appel à toute une gamme de contre-mesures anti-debug et procédés d'obfuscation et de cryptage, en passant par des packers qui mettent à mal le format PE des exécutables de windows, le run en ring0 (kernel driver) et l'implémentation de machines virtuelles exotiques... Ce qui fait que les crackeurs actuels les plus leet sont des wizards de l'asm, bien plus que la pluspart des démomakers :p
bien dit cybernostra, l'esprit 'hacker' et frondeur est toujours là, il 'suffit' de le canaliser sous forme plus créative comme l'a fait la demoscene historiquement par rapport à la scene.
le marketing viral ne date en effet pas du renouveau d'Apple, y a pas si longtemps MSDOS et Windows se recopiaient sans aucune limitation... ou rappelons-nous de la grande époque du shareware où les éditeurs donnaient 1/4 voir 1/3 du jeu, qui a fait exploser des jeux comme Doom ou Duke3D :)
le marketing viral ne date en effet pas du renouveau d'Apple, y a pas si longtemps MSDOS et Windows se recopiaient sans aucune limitation... ou rappelons-nous de la grande époque du shareware où les éditeurs donnaient 1/4 voir 1/3 du jeu, qui a fait exploser des jeux comme Doom ou Duke3D :)
tl;dr
kaneel: u lazy bastard, scene != demoscene :p
Pour illustrer l'erreur que tu fais Zest, je vais prendre un exemple. Le mélange que tu fais reviendrais à dire que le graffiti est né de l'activité des gangs dans les ghettos américains.
C'est pas parce que les gangs américains utilisent le graffiti et en ont une version propre, que le graffiti lui même est né de ces gangs.
De la même manière le mythe du "split" originel est juste cela, un mythe. Certaines personnes qui faisaient des démos faisaient aussi parti de la scène warez+cracking. Tout utilisateur de ces machines d'ailleurs pouvait vaguement être assimilé a faire partie de la scène warez, tout simplement parce que ca paraissait normal a tout un chaqu'un au moins de jouer le rôle de swappeur avec ces potes. L'activité démo était une autre activité séparée, tout comme le journalisme de jeu vidéo -- dont on oserait pas dire qu'il a ces racines dans le warez --
C'est pas parce que les gangs américains utilisent le graffiti et en ont une version propre, que le graffiti lui même est né de ces gangs.
De la même manière le mythe du "split" originel est juste cela, un mythe. Certaines personnes qui faisaient des démos faisaient aussi parti de la scène warez+cracking. Tout utilisateur de ces machines d'ailleurs pouvait vaguement être assimilé a faire partie de la scène warez, tout simplement parce que ca paraissait normal a tout un chaqu'un au moins de jouer le rôle de swappeur avec ces potes. L'activité démo était une autre activité séparée, tout comme le journalisme de jeu vidéo -- dont on oserait pas dire qu'il a ces racines dans le warez --
Ca me donne à penser que :
Le graffiti est un détournement du signe alphabétique officiel, c'est un hack qui permet de marquer un lieu dans l'espace et le temps et de former une relation signalétique dans le réel en y créant un territoire virtuel pendant l'absence du propriétaire du signe apposé.
C'est vieux comme le monde et la promenade des chiens.
Le graffiti est un détournement du signe alphabétique officiel, c'est un hack qui permet de marquer un lieu dans l'espace et le temps et de former une relation signalétique dans le réel en y créant un territoire virtuel pendant l'absence du propriétaire du signe apposé.
C'est vieux comme le monde et la promenade des chiens.
que dire à par LOL et bonne fete
Et allé faire un tour à la bp !
Et allé faire un tour à la bp !
Réponse collective à un problème d’accès à des ressources
voir le pdf : http://www.loria.fr/~bourjot/SMA-masterSCPR-etho.pdf
voir le pdf : http://www.loria.fr/~bourjot/SMA-masterSCPR-etho.pdf
oué, joyeuses fêtes de fin d'année à tous!
on y travaille, c'est juste que, c'est un vieux diésel, il a du mal à démarrer et il toussote un peu (:
Joyeux noël !
Tournée de chocolat chaud !
Tournée de chocolat chaud !
Joyeux Noël et bonnes fêtes,
Bon Bout d'An 2007 !
Bon Bout d'An 2007 !